Randonnée dans la Vallée de Campan et vallée de Gripp - Le Pouy : 900 m - Crête et Soum de Hailla : 1889 m. en boucle. sortie CAF.
Niveaux:
Rando cueillette
Cliquez sur les images pour les agrandir
Nous partons à 7 h avec Marie-Jeanne B., Cécile G., Jeannine M., Annie V. et à Tarbes, nous retrouvons Edmond et Éliane D, qui nous proposent cette randonnée. Arrivés à Sainte Marie de Campan, nous prenons une petite route qui nous conduit au Pouy.
Il est 8 h 45, nous montons une pente herbeuse, à l'est. Puis le sentier grimpe par une forte pente entre le bois Pigalh de la Houguère et le bois d'Empièye. Le soleil brille dans le ciel bleu légèrement tacheté de fils nuageux, la chaleur nous étreint. C'est alors que nos amis découvrent des champignons. Edmond confirme que nous avons trouvé des cèpes. C'est la ruée !
Nous appuyons sur le champignon et parvenons sur le vallons herbeux et aux cabanes du Courtaou d'Empièye (1600 m.). Nous admirons le paysage, la vallée à l'est et le lac de Payolle. Proches de nous des vaches paissent, nous grignotons.
Nous repartons en attaquant directement la crête, puis nous descendons au Pla de La Serre (1746 m.), ensuite nous contournons, par des sentes, sud, le sommet. Nous grimpons tout droit finalement au Soum de Hailla, atteint à 11 h 45. Malgré une bronchite Cécile ne manque pas d'air et garde le rythme. Le panorama est magnifique. Au sud le Cap de La Taoula, Pène Lounque et le haut du pic du Midi de Bigorre, forment une barrière sur l'horizon. La vallée, Bagnères de Bigorre et les villages proches, se perdent au nord.
Nous déjeunons, recevant la visite de chevaux aux belles crinières. Des vautours dansent le vol des ailes pointées. Après un long moment de repos et de bavardages, animés par Annie, Jeannine, Marie-Jeanne, sous les oreilles attentives mais détachées d'Éliane et Edmond, nous repartons par une crête nord, afin d'effectuer une boucle, ceci étant moins lassant !
Nous traversons le Clot des Artigues et rejoignons Les Cabanettes. Le sentier plonge dans le bois d'Escaret et suit une clôture. Des arbres tombés dévient notre cheminement, jusqu'à atteindre le ruisseau, que nous suivons dans un chemin boueux. Nous retrouvons l'embranchement d'Empièye et dévalons la pente herbeuse jusqu'aux voitures. Il est 16 h 10. Nous ramassons des pommes sauvages , sans tomber dans les pommes, nous avons évités tout risque de pépins, car Edmond veille.